No category

Après un looooong travail sur le système de numération et l’addition, la technique de la soustraction posée (sans retenue) n’a pas posé de problèmes majeurs à mes élèves. Des supports analogues (merci le ruban word!), un matériel connu, et hop! Finger in the nose comme on dit Outre-Manche!

Pour la soustraction avec retenue, c’est un autre histoire! 3 – 6 ? Impossible ! Alors on fait 6 – 3! Euh non! En mathématiques, on ne fait pas ce qu’on veut (c’est comme à la maison ou en classe, hein!)!!! Nous voilà donc repartis pour des semaines de manipulation, d’échanges, … afin de comprendre le sens de la technique de la soustraction posée avec retenue.

Qui dit soustraction avec retenue, dit souvent deux « écoles »: la technique avec la retenue « ne haut et en bas » et la méthode dite « à l’anglaise » (avec « cassage » de la dizaine). Je ne vous cache pas que ma préférence va à la seconde ; je la trouve plus facile à comprendre et donc plus facile à enseigner. Nous avons donc parti pour des séances de cassage de dizaine avec le matériel de numération. Au final, de gros progrès à la clé!

A noter que j’ai eu un coup de foudre pour le travail d’une collègue rencontrée sur un groupe de PE en ULIS qui utilise les oeufs Kinder pour figurer les dizaines: il suffit donc de les ouvrir pour « casser » une dizaine ! J’adore et je vais sûrement lui emprunter sa technique ( merci si tu passes par ici!). D’ailleurs, en cette période pascale, j’ai déjà détourné les maxi oeufs de mes enfants pour matérialiser les centaines… ^^

 

Après tout ce bla-bla, voici la leçon qui conclut la séquence sur la soustraction.

La soustraction posée, avec et sans retenue

Télécharger « La soustraction posée.pdf »

Tags:

No responses yet

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Latest Comments